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Appel du collectif "Pas de bébés à la consigne" à signer une. pétition en faveur d'un Plan d'urgence pour l'accueil de la petite enfance
Hubert Montagner dr. ès-sciences, Professeur des Universités en retraite, ancien Directeur de Recherche à l’INSERM, ancien Directeur de l’Unité “Enfance Inadaptée” de l’INSERM
Il est évident qu'il ne peut y avoir d'efficience didactique ni de pédagogie de la réussite sans une réelle prise en compte des facteurs humains par l'école, c'est-à-dire les conduites de l'enfant qui peuvent être empêchantes, voire invalidantes, dans l'apprentissage des savoirs et des connaissances (enfants autocentrés, “lents”, “hyperactifs”, évitants, en fuite, mutiques, agresseurs, étranges...), les facteurs familiaux (misère matérielle, relations insécurisantes, conflits, crises morales, ruptures, maltraitances...), les facteurs sociaux (chômage, rythmes de travail des parents, habitat déstabilisant ou déstructurant...) et les facteurs culturels (coutumes, rites, contraintes religieuses…).
Hubert Montagner dr. ès-sciences, Professeur des Universités en retraite, ancien Directeur de Recherche à l’INSERM, ancien Directeur de l’Unité “Enfance Inadaptée” de l’INSERM
Le débat sur la violence des enfants à l’école vient d’être relancé par l’annonce du Ministre de l’Education Nationale de créer un conseil scientifique sur le harcèlement à l’école et par l’organisation les 2 et 3 mai 2011 d’assises nationales du harcèlement à l’école.
La Société d’Histoire de Nanterre, en particulier par Georges Belfais, Alain Bocquet, et Danielle Papiau, et la mairie de Nanterre, organise le samedi 30 avril en fin de matinée l’inauguration de l'IME FERNAND OURY
Dans le compte rendu officiel d’une réunion de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée nationale, les propos suivants sont tenus par un député (reproduction de l’intégralité de l’intervention).
“En termes de rationalisation budgétaire, on ne peut que constater la faillite de l’éducation nationale s’agissant de la formation des jeunes : non seulement certains s’arrêtent avant le niveau bac + 2 sans diplôme tandis que d’autres quittent l’école à seize ans sans rien faire après, mais on perpétue des classes dans le seul intérêt de professeurs dont le souci est uniquement de protéger leur emploi...
Par Roland Gori, à lire dans Libération
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