Inauguration de l'IME Fernand Oury

La Société d’Histoire de Nanterre, en particulier par Georges Belfais, Alain Bocquet, et Danielle Papiau, et la mairie de Nanterre, organise le samedi 30 avril en fin de matinée l’inauguration de l’

 

IME FERNAND OURY


C’est une manifestation municipale, présidée par Patrick Jarry, Maire, conseiller général, En présence des « autorités » locales, dont Jacqueline Fraysse, députée, Marie-Claude Garel, conseillère générale du canton, rééluelasemainepassée, Julien Sage maire adjoint à l’écologie (le bâtiment est top de ce point de vue), Marc Vignau maire adjoint à l’urbanisme, Fatna Chouaikh maire adjointe à la santé, Zacharia Ben Amar maire adjoint à l’enseignement, Christine Bourcet maire adjointe au projet éducatif local, Danielle Papiau présidente de l’APEINA (assoociation support de l’IME), Laurent El Ghozi vice président (par ailleurs président de l’Association Santé et Territoire, entre autres),

 

le samedi 30 avril en fin de matinée
sur place rue Paul-Vaillant-Couturier n° 36


Cette manifestation sera centrée au premier chef sur l’engagement de la mandature en ce qui concerne le handicap (discours du maire ; collaboratrice : Cécile Estay 06 46 45 41 30), et le choix de la ville de soutenir l’APEINA (Danielle Papiau présidente devrait dire quelques mots sur l’association et les établissements que celle-ci gère à Nanterre). Elle associera les habitants et acteurs du quartier du Mont-Valérien au cœur duquel est implanté le nouvel établissement (écoles et centres de loisirs, centre social, équipement nautique à proximité)  Elle associera aussi les personnels, les parents et les jeunes de l’IME (directrice : Laurence Simon qui devrait gérer l’accueil et la visite des lieux). Enfin, elle honorera la mémoire et le travail de Fernand Oury, dont il a été décidé, à l’initiative de la société d‘histoire de Nanterre (et particulièrement de Georges Belfais, ancien maire adjoint) de donner le nom à l’établissement. Jacques Pain, Jean Oury, et la famille de Fernand Oury, devraient être présents, de même que des représentants de la recherche et de l’actualité, quant à l’héritage, la transmission, et l’avenir de  la « pédagogie institutionnelle ». 

Par Roland Gori, à lire dans Libération